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La ré-création des neurones : infantilisez-vous !

By Officiel de la Médiation,

20 novembre 2021

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« Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent » Antoine de Saint Exupéry

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Le verbe « infantiliser » tel qu’il est employé aujourd’hui nourrit le système de l’adversité et appelle le médiateur à creuser. Se sentir infantiliser – ça veut dire quoi ? Prenons quelques définitions trouvées sur la toile :

 Ce serait le sentiment « subit » face à une attitude descendante et autoritaire, qui ne nous permet aucune autonomie, ni aucune responsabilisation.

 La personne ou le système qui infantilise adopte une posture de supériorité vis-à-vis de la personne infantilisée (paternalisme), lui suggère ce qu’elle estime bon pour elle, manifeste une volonté de faire les choses à sa place, lui enseigner sa morale et lui dire comment elle doit penser ou se comporter.

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Faut-il penser que « ne serait infantilisé que ceux qui se sentent infantilisés ou sont infantilisables ? Alors, quid de la responsabilité individuelle dirions-nous en réplique ?

Mais l’infantilisable peut-il être considéré comme responsable ? Alors l’exercice d’une autorité de tutelle n’en serait-elle pas légitime ?

Nous vous proposons ici de dé-tricoter cela. Vous êtes prêt(e) ? 

Eve Billot – Médiateure Professionnelle

Remerciements pour leur contribution à Charline Bascones, Nathalie Gailhardou & Sylvaine Vidal.

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Le paradigme entretenu par l’usage même de ce mot.

L’usage même qui est fait de ce mot vient nourrir ce qui est pourtant dénoncé en l’énonçant.

A vous, qui vous sentez infantilisé, vous vous voyez peut-être comme dénigré par des propos ou comportements rabaissant, en tant qu’adulte vous ne savez plus comment faire pour ne pas vous soumettre de manière servile à cette oppression.

Quel est ce sentiment ? se sentir infantilisé ? Cette sensation qui viendrait de l’enfance, où le principe même de coercition et de domination des adultes semblait banal et normal. Si petit, une sensation de cocon, une sensation rassurante en présence de l’adulte puis en grandissant, peut-être est-ce devenu une sensation de dépendance. Par peur des représailles et des réprimandes peut être vous êtes-vous soumis, prostré dans le silence ou bien vous êtes-vous révolté face à l’oppression, ainsi s’engrangeait son pendant : la répression, la délinquance ou le harcèlement. Aujourd’hui adulte, quelque fois peut-être, cela vous apparait comme difficile voir insupportable. Vous vous dites donc « infantilisé », pour autant, cautionnez-vous le fait que l’enfant, lui, puisse subir cette descendance et que ce soit « normal » ? Le silence ou la révolte sont-ils pour eux les seules échappatoires ? Face à la domination, l’abandon ou la résignation sont effectivement les issues. La verbalisation de ce mot que l’on décortique ici vient renforcer la posture de l’enfant « qui a le devoir de se soumettre » et qui par voie de conséquence devient banalement délinquant ou oppressé / harcelé[1]. L’énonciation de ce terme alimente les idéaux, l’adversité et le binaire.

A vous qui pourrez être vu comme l’infantilisateur, votre intention est-elle celle de vouloir prendre le pouvoir et dominer l’autre selon votre référentiel de ce qui est bon, bien, beau ? De juger et conseiller votre interlocuteur ?

Peut-être pas, et pourtant c’est l’intention qui pourrait vous être prêtée lorsque vous agissez de cette manière ou que vous tenez ces propos. Mais si ces mêmes propos étaient tenus à un enfant alors serait-ce acceptable ?

Enfant, vous admiriez ou détestiez peut-être ces personnes charismatiques qu’étaient les adultes, ce pouvoir menaçant ou inspirant qui émanait de leur simple présence. Comment ne pas reproduire ce que vous avez appris en vivant à leurs côtés ? Comment ne pas se dire que « ce qui fut bon pour moi devrait l’être pour les autres » et puis comment faire, penser autrement que par imitation ?

Ainsi, une personne, en raison de son âge, serait alors dans l’obligation d’obéir à des ordres venant de l’extérieur ou de se révolter[1] ? La personne qui donnerait des injonctions serait alors légitime du fait de son âge et de son titre ?

Les fêtes approchantes, vous viendrait-il à l’esprit de répliquer à votre maman ou à votre mari/femme : « as-tu été sage cette année pour avoir des cadeaux ? », peut être pas, ce serait peut-être infantilisant ?

Alors peut être pourriez-vous réfléchir au nom de quoi vous souhaitez entretenir ce conditionnement idéologique ?

Quelle fonction par nature et par essence même pourrait légitimer un acte d’asservissement ? Si ce n’est la seule bonne intention de cet humain possédant un titre (père, mère…) qu’il croit lui donner du pouvoir, une autorité de fonction, de « sermonage » et de punition. Et si vous bouleversiez ce cadre pour vous en extraire et choisissiez de ne plus ETRE une autorité de pouvoir, de titre (« je suis son père » sa maîtresse ») ?

Vous pourriez peut-être dire si les personnes auprès de qui vous vous sentez inspiré, en confiance et dans l’entente sont des personnes qui en premier lieu possède un titre… Est-ce le titre que vous recherchez chez une personne pour vous éveiller et grandir ? Ou bien est-ce peut-être quelque chose relevant du savoir, du savoir-faire et du savoir être de ces personnes qui vous anime et vous rend satisfait de les côtoyer…

Finalement vous pourriez peut-être imaginer maintenant la faculté, la compétence que vous pourriez activer ou acquérir afin de permettre l’éveil des consciences et l’entente au côté des enfants. Peut-être qu’il s’agirait alors simplement de valoriser ce que les enfants « sont » et non ce que vous pensez qu’ils devraient être ? Une autorité[2] certes, mais qui finalement reposerait sur la compétence et non sur le titre…

Le titre[3] n’aurait alors de teneur que son nom et la croyance qui lui est attribuée.

Ce paradigme d’où émane l’acception courante du terme « infantilisé » est celui de l’adversité, celui du référentiel normatif, juridique (avoir le droit ou pas), confessionnel (c’est bien ou mal), psychologique (« c’est pour ton bien ») et même allons jusqu’à l’art en ce qu’il identifie le beau et le laid.

Le mot infantiliser fait entièrement partie de ce paradigme, il s’entend dans ce monde qui nourrit les luttes d’égo, les guerres de pensées et de raison et les batailles de corps.

Pourquoi utiliser l’enfance pour parler de sentiment ? Nous rendons l’enfance et l’enfant encore plus assujetti et dépendant en cautionnant la posture adulte sachant / enfant ignorant. Il ne s’agit pas ici de nier l’existence d’un besoin fondamental de dépendance affective de l’enfant à une figure d’attachement mais de le dépoussiérer de croyances et d’idéaux enkystées.

Ne plus employer ce terme serait une illusion réconfortante et la réalité, les faits, demeurent que la société éduque et instruit beaucoup encore sous le paradigme de l’adversité et de l’entrave, laissant bon usage et écho à ce terme sous une acception qui est loin de son origine.

L’essence intérieure des enfants, leur créativité possède ce que nous ne pouvons, nous adulte concevoir et qui recèle le futur qui modèlera les temps à venir.

C’est dans notre propre ignorance que la génération à venir concevra ce que nous n’avions pas imaginé. Elle y puisera sa force pour croire à ce que nous adultes avons toujours cru impossible.

Le savoir véhicule avec lui des barrières, des limites, celles de l’ignorance. Mais c’est bien sous le prisme de l’ignorance que les plus grandes inventions ont vu le jour. Les enfants n’y voient aucune limite mais un océan d’opportunités et de jeux, ils s’étonnent, s’intéressent, et courent après tout ce qui ne cause plus de surprise chez l’adulte, comme si chacune de leur découverte était liée à la sérendipité.

C’est cet état que nous avons perdu nous adultes et en prendre conscience permet de préserver les prédispositions naturelles des enfants, ne pas éteindre leur feu ardent qui brûle à l’intérieur.

Prenons un exemple : un adulte, un enfant, un crayon et une feuille : l’enfant joue, trace sur sa feuille avec le crayon, l’adulte à votre avis que fait-il ?

Commente ? Juge ? Est présent ?

Bien souvent il dira par ex « oh que c’est beau, mais tu as oublié la bouche, il a trois jambes ? c’est étrange … ». Il pourrait aussi simplement être présent, assister à son jeu. L’enfant n’a besoin d’aucun conseil, d’aucune suggestion juste d’une connivence stimulante. Il n’a surtout pas besoin que nous lui donnions notre avis, ni que nous lui demandions des commentaires. Et pourtant il vous demande si c’est beau ? Et lui qu’en pense-t-il ? Que recherche-t-il par votre approbation ? Ce qui est exprimé par la trace est incompatible avec le langage verbal, ce sont les habitudes, l’éducation à l’art et le besoin de satisfaction et de reconnaissance qui sont à l’œuvre dans une telle question. C’est ce conflit perpétuel entre ce que nous sommes et ce que les autres pensent que nous devrions être. La trace, elle, par essence, possède un accès privilégié voir « VIP » à la mémoire qui est inaccessible à la raison. Elle a un caractère « universel, infaillible et spontané »[4].

Le mécanisme relationnel le seul à l’œuvre est celui interpersonnel. La trace n’est pas un médiateur, ni le vecteur ou le thermomètre qui indique le degré d’amour que les autres portent pour nous. Elle est encore moins le reflet d’une quelconque pathologie ou que sais-je et elle ne sert aucunement à guérir et ne souffre d’aucune prétention à la thérapie. L’art ou encore la représentation quant à eux sont des sujets à l’opposé de la trace.

Un jeu peut contenir des règles mais peut également être libre. La trace est, émane de l’être, de sa mémoire organique sans que rien d’autre ne soit « dicible ».

Imaginons le terme maintenant sous une autre forme « je te remercie pour tes propos, je me sens infantilisé et cela me permets de me sentir libre, entendu et reconnu », étrange, non ? Mais pourquoi pas ?

Et si le terme infantiliser reprenait son sens originel, du latin : « « infans, infantis » « le très petit enfant, de sa naissance jusqu’à ses premiers mots », qu’il ne fasse plus écho à l’assujettissement puéril mais à l’éveil et la créativité. Celui qui « est » au côté de l’enfant revêtant une autorité de compétence et non plus de fonction. L’éducation, disait Krishnarmurti, dans le vrai sens de ce mot, consiste à comprendre l’enfant tel qu’il est, sans lui imposer l’image de ce que nous pensons qu’il devrait être[5].

Et vous ? vous pourriez peut-être dire ce que ce terme vous inspire et ce qu’il permet de faire véhiculer, peut être pourriez-vous suggérer une autre acception ou un autre terme ?

« Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatiguant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications. »

______ Références et sources ______

[1] A ce sujet voir « Qu’est-ce que l’âgisme » – Elfi Reboulleau

[2] Voir la définition du terme « Autorité » dans le Dictionnaire Encyclopédique de la Médiation, Jean-Louis Lascoux, ESF

[3] Le leader sans titre, de Robin Sharma

[4] Arno Stern – La trace de la mémoire organique – 2020

[5] Krishnamurti « De l’éducation »

[1] « harcèlement, violence et empathie sélective », Officiel de la médiation, Jean Louis Lascoux

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Source: Officiel de la Médiation

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